Wäldemar raconte toute son hisoire

Je suis Waldemar, le héro de Hoelbrak, le fondateur de la puissante guilde des Goonies...Aujourd'hui je vous raconte toute mon histoire...
Je suis Né il y a 31 ans dans la ville de Hoelbrak, fils de Wabouner, un simple pêcheur. Ce dernier est un grand connaisseur d’hydromel, grand vainqueur durant 20 ans du festibiere.
Ma mère est morte après m’avoir donné naissance.
Mon enfance, a été dure, parsemée de labeurs éreintants et de larmes gelées par ce froid éternel.
A l'âge du Croc*, et comme tout les jeunes norms, j’ai rêvé d’être l'élu, celui qui arrivera à fissurer la dent de jormag, et ainsi devenir l’homme au destin exceptionnel. Ce jour là est gravé dans ma mémoire :
« Je suis seul sur la place du village, il fait nuit, la pâle lueur des étoiles m’éclaire, je prends mon élan, arme mon bras puissant, projette mon buste en avance, tends le bras, le poing serré. Tout ce passe en un flash fulgurant, et pourtant cette milliseconde dure une éternité. Mon poing frappe le croc d’une violence inouïe, le bruit sec et lourd de ce contact semble retentir dans tout le village…semble uniquement, car seul les os de ma main et de mon bras sont brisés. La douleur me tétanise, pulsant dans tout mon être. »
Dès que mes os ont été ressoudés, je suis reparti sur la place du croc, envoyant un coup de poing à chaque fois plus herculéen, espérant un peu plus me rapprocher de ma destinée.
Ces échecs à répétition ont  tout de même fini par briser mes rêves (et mes os), me rappelant que je resterai le fils d’un pêcheur qui préfère la boisson à sa famille.
D’ailleurs le village est en effervescence car les préparatifs du festibiere ont débutés.
Il n’est pas rare d’assister à des rixes pendant cette période festive, certaine, plus importante que d’autres, mais cette année…
Le festibiere commença donc.
Mon poivrot de père a fait de sa vie un perpétuel entrainement du festibiere, sans surprise il est arrivé à la finale, l’opposant, à Karfas, connu pour être le chef de guerre norn, le plus craint et respecté des cimefroides.
Alors que les deux compétiteurs eurent commencent à boire péniblement le 15ième tonneau d’hydromel, un kodan défonce la porte de la salle de la salle commune. C’est le plus grand que le village n’est jamais vu, il dépasse d’un bon mètre le plus imposant des Norms, ses muscles saillants sont visibles malgré l’épaisse fourrure blanche. Son rugissement roc et raillant résonne dans tout le village. C’est la griffe, le chef de guerre Kodan**. Tout s’enchaine très vite, une centaine de kodans envahissent la salle. Les lâches pensent pouvoir profiter de l’ivresse de tout un village afin de le vaincre. Les norms ne sont pas enclin à la sagesse, et nous rendre ne fait pas parti de nos us. Les hommes et les femmes Norns se jettent sur les assaillant, Karfas se lève avec une rapidité surnaturelle, tout en se transformant en panthère des neiges, émet un rugissement tout aussi violent que celui du chef kodan, et bondit directement sur l’envahisseur. Il est stoppé net par un unique coup de tête. Il s’écroule dans un fracas silencieux, tous les villageois s’arrêtent le cœur séré et troublé, pour voir le plus fort d’entre eux au sol, immobile, le crane ensanglanté.
C’est alors que je me suis mis à marcher d’un pas lourd, empreint de confiance, vers la griffe.
Je suis devant lui. Avant même que je ne puisse armer mon bras, il me balance un coup de pate, acéré de 3 griffe me balafrant allègrement le visage, suivi un coup de pied dans l’articulation du genou, se qui fini de me mettre au sol.  Alors qu’il lève sa patte pour m’écraser la tête, je réussis à esquiver le coup grâce à deux  maladroites roulades. Etrangement, je me sens un peu mieux.  Je me relève, le plus rapidement possible, ramasse un marteau qui est à ma portée, dans craquement sourd et morbide résonnant dans la pièce toute la salle j’ai explosé en un unique coup la tête de l’ours humanoïde géant. L’envahisseur s’écroule sur dos, les yeux vitreux grands ouverts. Je bondis les autre Kodan et frappa avec toujours plus de violence. L’envahisseur est vaincu.  Les gens du village scandent mon nom, me proposant de rejoindre la valeurse armée de Karfas. Moi le fils de pêcheur, le larbin de service…j’ai eu mon eu de gloire. J’ai pris la décision de refuser cette offre, ma destinée c’est à moi de la tracer, si je ne suis pas l’élu, l’homme qui tuera Jormag, je suis celui qui mourra en essayant. Notre destinée nous appartient. Je suis Wäldemar.



*Les jeunes guerriers Norns s'exercent au combat contre le croc car, selon une croyance populaire, celui qui parviendra à endommager le croc sera capable de vaincre Jormag une fois pour toutes.

**La Griffe est le dirigeant apparent des Kodans. Elle est choisie pour son charisme et ses prouesses martiales, et il est de son devoir de gérer le fonctionnement quotidien du Sanctuaire et sa sécurité. Elle parcourt librement le Sanctuaire, entourée de ses Gardiens ayant pour tâche de défendre le Sanctuaire et d'arrêter les rares disputes au sein du peuple. D'un point de vue extérieur, la Griffe est effectivement le dirigeant des Kodans.

Sympa ton histoire, néanmoins tu as oublié un détail important; comment se fait-il qu'après t'être fait moudre la tête par le Kodan tu te "sentes mieux"?
J'en déduis que tu as oublié de mentionner qu'il y avait une salade bleue au fond de la salle qui a envoyé tous ses sorts d'eau pour te protéger xD!!!   

Waldemar a écrit: il me balance un coup de pate, acéré de 3 griffe me balafrant allègrement le visage, suivi un coup de pied dans l’articulation du genou, se qui fini de me mettre au sol.  Alors qu’il lève sa patte pour m’écraser la tête, je réussis à esquiver le coup grâce à deux  maladroites roulades. Étrangement, je me sens un peu mieux.  

je suis gardien, les roulades me healent c'est pour cela mon cher.